Des androïdes et des Songes (NieR : Automata)
Un pincement au cœur. De l’extase. Du rire, et puis le chagrin. Rien, décidément, en NieR : Automata, ne confine à une certaine permanence, au repos…
Un pincement au cœur. De l’extase. Du rire, et puis le chagrin. Rien, décidément, en NieR : Automata, ne confine à une certaine permanence, au repos…
Mon expérience de Final Fantasy IV, pour le moins contrastée, me rappela à quel point il était parfois délicat de se lancer dans de vieux…